Dominé par un magnifique château, Soiron est entouré de collines, de prés et de vergers délimités par des haies vives et des bosquets. L'habitat traditionnel, de style Renaissance mosane, allie la brique, le moellon de grès et la pierre calcaire pour l'encadrement des portes et fenêtres.Soiron fait partie de l'association des "Plus Beaux Villages de Wallonie", créée en 1994, qui attribue son label aux plus beaux sites ruraux de Wallonie.Monuments classés et patrimoine préservé exceptionnel

Entouré d’étendues herbagères clôturées, le village occupe le sommet d’un promontoire que domine l’imposante église. L’emploi de la brique pour les murs, de l'ardoise pour les toits en bâtière, de la pierre pour les encadrements de fenêtre et des chaînages d’angle caractérise l’ensemble architectural du village.Pour rompre judicieusement la simplicité des volumes construits, les ardoises font l’objet de recherches décoratives. Quant aux girouettes, elles dominent les toits et témoignent d’un art de la ferronnerie pratiqué avec talent.Curiosités :• L’église Saint-Jacques-le-Majeur (XVIIe) et son cimetière• La place de la Halle et la maison de Luc Petit• L’ancienne maison communale (1888), à cheval sur la rue principale et qui sert aujourd’hui de salle des mariages, ce qui fait dire qu’à Clermont « on se marie sur la rue »• La chapelle Sainte-Anne (les Béolles)• Halte St-Jacques-de-Compostelle sur la Via Mosana• Le château de Crawhez• Le château de Clermont• Le Remember Museum 39-45

Au creux d’un paysage mêlant la douceur du Pays de Herve à la diversité des massifs ardennais, seule la flèche ardoisée de l’église Saint-Sébastien trahit la présence du petit village d'Olne. Il y aurait trace de cette église à partir de 1005, au moment de la donation des landes situées entre Soiron et Soumagne aux chanoines de St Adalbert. L'édifice actuel remonte à 1584 pour la tour et 1761 pour les nefs et le chœur. Située sur une butte au centre du village, l'église est entourée de l'ancien cimetière et ceinturée par un mur en moellons interrompu par l'escalier et la grille d'accès au portail. A l'intérieur, le mobilier est remarquable : autel et bancs en chêne, chaire de vérité, plafond en stuc, orgues, cloches et divers objets de culte.Si maisons et sites classés foisonnent, le village d'Olne vous séduira sans doute davantage par les menus détails qui lui confèrent son charme : balcons aux grillages ouvragés, passages dérobés entre hautes bâtisses, jardins entourés de murailles... Le tout baigné d’une quiétude datant d’un autre temps.La renaissance mosane et les 17e et 18e siècles ont façonné maisons et fermes en moellons calcaires, reflétant l’harmonie et l’homogénéité du village.Olne est vallonné et permet la découverte de nombreux paysages différents : la discrétion du village de Gelivau, les nombreux moulins de l'étroite vallée de Vaux-sous-Olne, la bucolique petite église de Saint-Hadelin en bord de Magne, les sentiers d'Olne dans la vallée du Bola, les vieux séchoirs à chardons de Froibermont, la mare de Hansez, les maisonnettes fleuries, la molèye rue des Combattants,… La molèye est le nom donné au mélange de mortier de chaux et de limaille de fer utilisé pour rejointoyer les moellons calcaires des maisons à Olne. En mélangeant cette limaille de fer avec le mortier, les Olnois voulaient donner une plus grande stabilité à leur maison. Bon nombre d'anciennes maisons ont conservé ces joints jusqu'aujourd'hui. Au 18e siècle, la clouterie constitue une des principales activités du village.La Cense seigneuriale de Froidbermont est également un batîment remarquable ! Ancienne dépendance du château démoli en 1806, elle était la résidence des barons d’Olne de Froidbermont avant la construction du château d’Olne au Rafhay (en 1703) lui-même démoli en 1920. La ferme carrée typique du plateau, contournée par la route, comporte plusieurs corps de logis, fournil et dépendances agricoles organisés autour de la cour pavée accessible par le portail.Quant à la maison communale, construite en 1747, comme le rappelle le fronton qui surplombe l'entrée principale, elle présente les caractéristiques du style rocaille, alternance de briques rouges et pierres calcaires. A gauche de la façade, une travée d'ouvertures semblables à celles du bâtiment a été ajoutée contre le pignon au début du 20e siècle. A l'intérieur, on peut voir de riches décors en bois, portes sculptées, manteaux de cheminée, parquets et escaliers. La façade arrière surplombe la terrasse et le jardin délimité par un muret de pierres. A l'origine, la maison communale hébergeait la gendarmerie. Les étages étaient les appartements des gendarmes et les caves servaient de cachots. Récemment réhabilitées, les caves accueillent désormais la bibliothèque communale.De nombreuses promenades fléchées permettent de découvrir des lieux qui vous surprendront par leurs spécificités et leur quiétude.

En bordure du plateau de Herve, dans un magnifique parc de 22 ha, le centre récréatif et de loisirs du Domaine propose : un complexe de piscines comprenant un bassin ludique, un bassin sportif et une pataugeoire - canotage - golf miniature - pêche - aires de 24 barbecues - terrains de sport - plaine de jeux - sentier de découverte de silhouettes d'oiseaux - arboretum - auvent pour pique-nique - camping.Parking gratuitRéservation obligatoire pour accéder au parc et au complexe de piscines (billetterie en ligne sur www.provincedeliege.be/wegimont, par mail, par téléphone ou sur place s'il reste des disponibilités)Page FacebookRendez-vous sur la chaîne Youtube de la Maison du Tourisme du Pays de Herve pour visionner d'autres vidéos mettant en avant nos sites touristiques !

Témoin de l’activité houillère en province de Liège situé entre Liège et Maastricht, Blegny-Mine est une des quatre authentiques mines de charbon d'Europe dont les galeries souterraines sont accessibles aux visiteurs via le puits d'origine. Enfilez votre veste, ajustez votre casque et descendez par la cage de mine à - 30 et - 60 mètres à la découverte du travail et de la vie quotidienne des "Gueules Noires". Découvrez ensuite le processus de triage et de lavage du charbon jusqu’à son expédition.Le superprogramme :Combinez en une journée la visite de la mine (2h),+ le musée de la mine (min. 1h30) : parcourez librement huit siècles d'exploitation houillère (visite libre)+ le biotope du terril (50 min.) : circuit pédestre audioguidé présentant la vie sur et autour du terrilPossibilité également en saison de découvrir la région du Pays de Herve et la vieille ville de Dalhem à bord de trains miniatures touristiques (50 min.)Blegny-Mine et les 3 autres sites miniers majeurs de Wallonie (Le Bois du Cazier, Bois-du-Luc et Grand-Hornu) sont reconnus comme patrimoine mondial par l'Unesco depuis juillet 2012.Rendez-vous sur la chaîne Youtube de la Maison du Tourisme du Pays de Herve pour visionner d'autres vidéos de Blegny-Mine !À découvrir également :le site et ses extérieurs (plaines de jeux, parc de détente, terril)le stationnement des mobilhomesle centre d’hébergement pour groupes, sur réservationle centre d'archives et de documentation (CLADIC), sur rendez-vousla boutique (vente de boissons et de nourriture à emporter)

Le Fort de Battice est l’un des quatre forts construits dans les années 30 et plus précisément de 1934 à 1937. En mai 1940, le fort soutint un siège de 12 jours sous le feu de l’artillerie lourde et de l’aviation allemandes. Une seule bombe lancée par un stuka, par un malheureux ricochet, pénétra dans un bloc de combat en tuant 28 de ses occupants. On peut encore voir, dans le petit musée qui y est installé, l’ampleur des dégâts.La visite des organes, à 35 mètres sous terre, présente un grand intérêt, malgré la disparition d’équipements enlevés par un ferrailleur dans les années 60 : démonstration dynamique d’une tourelle à 2 canons de 75 millimètres, fresques picturales dans le casernement souterrain, groupe électrogène en parfait état, casemates de tir pour canon de 60 millimètres et mitrailleuse totalement restaurée.Le fort ne dispose pas de boîtes aux lettres.Contact : Rue du Puits Saint-Anne 9 - 4620 Fléron

D’une superficie d’environ 23 hectares, ce cimetière militaire a été créé en septembre 1944 par la première Division d’Infanterie de la Première Armée Américaine. La construction du cimetière et du mémorial fut terminée en 1960.7 992 soldats américains tombés au cours de l’avancée de la 1ère Armée à travers le nord de la France, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg et l’Allemagne ainsi que durant l’âpre « Bataille des Ardennes » de l’hiver 1944-1945 reposent dans cette nécropole. De chaque côté des colonnes, recensant les 450 soldats disparus, se trouvent la chapelle et la salle des visiteurs qui les accueille avec de vastes cartes murales détaillant les différentes offensives des alliés dans la reconquête de l'Europe.Outre les informations sur le cimetière dont peuvent y disposer les visiteurs, il leur est loisible d'y signer le registre.Interview avec Amandine et Carly du Cimetière Américain d'Henri-Chapelle Pour devenir une Sentinelle de la Mémoire pour un militaire enterré dans le cimetière américain d'Henri-Chapelle, le parrainer, lui rendre hommage, rendez-vous sur aomda.org/fr/content/être-une-sentinelle-de-la-memoire

Sur base de la cartographie IGN (Institut Géographique National), tout le paysage s’offrant aux promeneurs a été sculpté dans une pierre bleue d’1,5 mètre de diamètre, ornée de détails moulés en bronze, le tout pesant près d’une tonne. Cette table traduit pour la main, le relief du panorama exceptionnel tel que l’œil le perçoit depuis le site. Ce qui en fait une table d’orientation paysagère accessible aussi bien aux voyants qu’aux malvoyants. A son origine, le groupe Qualité Village de Saint-Jean-Sart a eu l’idée de placer à cet endroit une “simple” table en bois.Huit ans plus tard, ce projet a beaucoup évolué pour devenir l’œuvre que l’on connaît aujourd’hui : une table d’orientation paysagère unique en Belgique.

Fondée par les Cisterciens en 1216 au confluent de la Bel et de la Berwinne, l’Abbaye du Val-Dieu, telle qu’elle existe aujourd’hui, est la seule abbaye en Belgique ayant survécu à la révolution française.Les bâtiments, à part quelques vestiges romans, datent majoritairement des 17e et 18e siècles. On y trouve toujours les différents éléments d’une exploitation agricole (brasserie, écuries, grange et moulin) ainsi que l’église abbatiale reconstruite au 19e siècle et qui a été érigée enbasilique après la seconde guerre mondiale.Une visite guidée permet de découvrir les lieux importants de la vie monacale tels que la salle du chapitre, le réfectoire, le scriptorium et le quartier de l’abbé.Les Cisterciens, grands spécialistes d’agriculture, ont su maintenir le site du Val-Dieu avec son beau parc, comme une oasis de verdure où l’on peut se connecter avec le spirituel et le culturel tel qu’il s’est développé depuis près de 800 ans.La Cour et la Basilique sont toujours accessibles.Rendez-vous sur la chaîne Youtube de la Maison du Tourisme du Pays de Herve pour visionner d'autres vidéos de l'Abbaye du Val-Dieu !